À l'heure actuelle, le Huawei est celui qui a été ciblé par les États-Unis et a été mis sur liste noire, le fameux "Liste des entités». Mais, et si le Xiaomi sur cette liste ?
Κlors d'un entretien, le chef de produit Xiaomi, Abi Go a parlé de plusieurs sujets intéressants, dont la question des interdictions américaines.
«Nous évaluons actuellement la situation. Jusqu'à présent, rien n'indique que l'interdiction sera étendue à d'autres entreprises. En effet, nous travaillons étroitement et intensivement avec des entreprises américaines, comme Qualcomm, pour nos chipsets, ou Google, sur nos produits de l'écosystème IoT (Internet des Objets)», déclare le chef de produit de Xiaomi pour les marchés mondiaux.
Cependant, nous pensons que notre stratégie commerciale ne doit pas dépendre de décisions politiques. Jusqu'à présent, nous avons choisi d'incorporer les meilleurs composants dans nos produits. De plus, nous continuerons à le faire à l'avenir. »
«Nous sommes convaincus que ce qui compte vraiment, c'est de toujours faire de notre mieux sans être influencés par ce que font nos concurrents. Nous pensons qu'il est positif d'avoir de la concurrence, car cela nous oblige à faire de notre mieux. Notre stratégie est de faire ce que nous pensons et comment nous devrions toujours faire de notre mieux», note le représentant de Xiaomi.
Mais qu'en est-il des logiciels ? Il est possible que Xiaomi puisse également s'appuyer sur le système d'exploitation Harmony. Dans ce cas, Google doit être prudent, car il pourrait même perdre sa domination sur le marché des systèmes d'exploitation mobiles. Nous verrons ce qui se passe, mais Xiaomi ne semble pas avoir peur du pire des cas.
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